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L'origine de la violence

Plus que réticente j'étais à  l'idée de lire L'origine de la violence.Pourtant ce livre continuait à me fasciner et je rôdais autour, le prenant, le reposant...Je l'ai enfin commencé  et ne l'ai plus lâché de du milieu de la nuit au petit  matin...512vgjEjIHL._SL500_AA240_.jpg
J'ai été happée par cette double quête d'identité: volonté du narrateur d'identifier ce déporté de Mauthausen qui ressemble étrangement à son père,  volonté aussi de  trouver  la source de la violence  qu'il sent  sourdre en lui et qui éclate à l'improviste mais aussi, de manière plus globale l'origine de ce qui est devenu au sens fort du terme l'Enfer sur terre : les camps de concentration.
Le  narrateur, qui est professeur mais aussi écrivain , ne cache pas le sentiment de malaise qu'il y a à  écrire sur ce thème , malaise que ressent aussi le lecteur mais que ce dernier arrive à surmonter du fait de  l'évolution du personnage principal. Pas de théâtralisation, de révélation fulgurante, pas de pose vengeresse  ou didactique. Le narrateur,  contrairement à bien des romans de la sélection du prix Landerneau est un être charnel qui sait que la violence est en lui mais arrive à  l'exorciser sans pour autant la valoriser.
L'origine de la violence est un roman exigeant, qui pose de nombreuses  questions, avance des hypothèses . C'est également un roman passionnant, aux péripéties captivantes. Une réussite du début à la fin. Mon coup de coeur  inespéré !39256779_p.png

L'origine de la violence, Fabrice Humbert,  Le Passage, 316 pages qui étaient faites pour moi.

L'avis de Clarabel.

Celui de Papillonqui en fait son grand vainqueur aussi !

Celui de Lily

De Dominique

De Fashion


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Aventures en Loire

Bernard Ollivier,soixante- dix ans au compteur , est un écrivain-voyageur  renommé.Ici son périple,  d'abord pédestre,   prend naissance aux sources de la Loire pour se poursuivre ensuite sur le fleuve dans un canot comiquement surnommé "canard". POlus que le périple en lui même, ce sont les rencontres que l'auteur privilégie car "Nomade  en Loire, je  veux m'ouvrir au monde, ,  à ses bonnes et mauvaises  surprises. je prends tout. Je veux embrasser la terre entière, les arbres comme les hommes, retrouver mon humanité loin du réveill-matin ou du "vingt-heures" télévisé."511hggFfOPL._SL500_AA240_.jpg
Cela ne sera pas de tout repos, le froid, la  pluie, nous sommes pourtana en été, les caprices du fleuve n'épargneront pas notre ancien journaliste,qui  n'est pas spécialement  sportif et qui avoue s'être plutôt mal préparé. Pourtant l'homme et le  fleuve vont s'apprivoiser :  "Je suis venu avec l'idée de la dominer,  de la conquérir. je  la quitterai en amoureux transi."
Pourquoi partir ainsi? l'auteur n'y voit pas du tout une décision cartésienne mais bien plutôt "une volonté de  se remettre en cause, de se transcender,  de tordre les rails qui nous guident au quotidien, de  rompre les digues  mentales et sociales qui nous contiennent, nous ligotent plus ou moins à  notre insu."
Point n'est donc  besoin de partir loin, l'exotisme n'est pas  nécessaire, il suffit peut être d'un élément déclencheur, peut être ce livre le sera-t-il...

Le billet de Dominique qui m'a  donné envie d'offir ce livre  à Belle -maman qui rentrait d'une marche au bord  de la Loire ...

Belle-maman qui a  eu ensuite la bonne idée de  me le prêter...:)
Aventures en Loire,  Bernard Ollivier,  éditions Phébus,  266 pages qui donnent envie de se mettre en marche.

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”Qu'ont-ils fait de toi, ma petite pierre ? ”

"Pour vous" est l'agence qu'a créée Delphine, agence  discrète destinée à  satisfaire les demandes les plus  bizarroïdes en matière de relations humaines. Scandé par les rapports circonstanciés et les tarifs de ses prestations, la narratrice, créatrice et directrice de ces prestations de services  ,  égrène les récits de ses interventions, nous raconte ses débuts quasi involontaires  ainsi que son évolution- bien involontaire- au contact d'un client tout à fait particulier qui lui ouvrira, peut être, enfin, le chemin  de la compassion.411K5m8YUeL._SL500_AA240_.jpg

D'emblée, le premier chapitre  nous plonge  dans un atmosphère opressante  quand nous découvrons  jusqu' où Delphine est allée  et ce sans le moindre état d'âme.  Pas question ici d'empathie ou d 'altruisme.  Tout est question  de tarifs. Les demandes des clients :  "Il n'est rien dont nous ne fassions commerce, la vie, l'amour,  la mort."- sont dérangeantes à plus d'un titre. Comment peut-on  se sentir si seuls et  demander à  une étrangère de mimer des sentiments ? Comment  peut-on accepter de telles demandes ? Je  ne vous les  détaillerai pas , vous laissant le  soin de  les découvrir avec  peut être  le même sentiment  d'angoisse que  celui  que 'jai  éprouvé. Certes, Delphine va évoluer mais on peut se demander si elle n'a pas vraiment loupé le coche  en chossissant de se calfeutrer  dans une telle carapace, bien à l'abri des sentiments, cette absence étant "l'âme et la colonne  vertébrale de Pour vous." Un jour Delphine va ouvrir ce qu'elle appelle elle-même, la boîte de Pandore,boîte qui rappelons-le contenait les malheurs et les maladies. Seule était restée l'espérance...
Un roman dérangeant où l'on retrouve l'écriture souple et délicate de Dominique Mainard. Un roman qui nous invite à une réflexion sur  notre  société et sur les rapports humains, nous offrant au passage une galerie de personnages plus vrais que nature.

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Heartburn

"-Rachel plaisanterait sur la chaise électrique. Ne vous laissez pas abuser."

Enceinte de sept mois, Rachel découvre que son second mari, Mark, la trompe depuis...sept mois , avec "une grande bringue avec un cou de la longueur du bras, un nez de la taille du pouce, des jambes interminables, sans parler de ses pieds qui sont un peu en canard."
Entrecoupant son récit de recettes de cuisine, (elle est journaliste culinaire), Rachel, avec beaucoup d'autodérision et d 'humour, brosse le portrait d'un mariage flingué en plein vol. Entre ses parents complètement frappa-dingues, son ex-meilleure amie, son futur ex-mari qui pille allègrement la vie de leur premier fils pour alimenter ses chroniques, son groupe de thérapie (-Pourquoi arrive-t-il toujours des choses à Rachel et à moi jamais rien ? sanglota Diana), le récit avance à toute allure, faisant fi de tout pathos et de tout auto apitoiement.nora ephron
On retrouve ici le talent de dialoguiste de Nora Ephron (auteure du scénario de Quand Harry rencontre Sally, avec la cultissime scène de simulation d'orgasme féminin !) dans cette nouvelle édition française* de ce qui est, en fait, son premier roman, écrit en 1983.
Donné comme purement autobiographique, Mark est en fait Carl Bernstein, le célèbre journaliste déclencheur du Watergate), Nora Ephron met en pratique ce qu'elle affirme  dans le roman : "-Je ne tourne rien en dérision, je dois simplement tirer une histoire de tout ce qui m'arrive ! C'est mon métier." et un peu plus loin, elle ajoute :
"Quand je raconte une histoire, je peux donner ma version.
Quand je raconte une histoire, je peux vous faire rire et je préfère vous faire rire que de vous faire pleurer.
Quand je raconte une histoire , je souffre moins.
Quand je raconte une histoire, je peux continuer à vivre." Une bien jolie façon d'affronter la douleur...

Heartburn, Nora Ephron, traduit de l'américain par Dominique Marion, éditions Bakert Street 2013, 256 pages entre sourires et émotion.

*Paru en janvier 1984 sous le titre C'est cuit, dit-elle chez Robert Laffont.

Sous le titre La brûlure  chez J'ai lu et France Loisirs en 1986.

Adapté au cinéma sous ce titre.nora ephron



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Julius Winsome

"...j'ai rencontré un géant efflanqué qui vivait dans un minuscule chalet."

Version sage

"En été j'avais un cercle de fleurs pour arrêter la forêt, en hiver un cercle de livres pour arrêter le frois et me permettre, durant les mois de silence, de me retirer à l'intérieur de la maison. Et autour de moi un autre cercle vivant: les animaux qui s'assemblaient pour recevoir la nourriture que je jetais sur le sol, les oiseaux qui attendaient des graines en hiver  et me remerciaient en chantant à tue-tête au printemps. ils vivaient dans un rayon d'une centaine de mètres, et, le moment venu, renonçaient paisiblement à leur corps."

Julius Winsome vit donc seul au fond des bois et s'apprête à se retirer dans son cercle de livres car l'hiver approche. l'hiver rude et glacial du Maine. L'assassinat de son chien, Hobbes, va transformer ce quinquagénaire doux et pondéré en tueur en série méticuleux et tout aussi calme.
L'alternance du passé et du présent nous aide à mieux cerner la  riche personnalité de Julius qui n'est en rien un être fruste ou asocial.
C'est l'irruption de la violence, de la trahison, sans doute qui vont rompre le lien subtil qui l'attachait au monde. Julius, friand de poésie, exprimant peu ses sentiments, fait évidemment tâche dans le monde rude des chasseurs qui l'entourent et c'est cette singularité qui va tout déclencher.51HkqjDpLuL._SL500_AA300_.jpg
Révolte, fascination tels sont les principaux sentiments du lecteur qui, sporadiquement, ne peut s'empêcher de se dire que tout de même il est en train de s'attacher à un tueur en série mais continue à se laisser séduire par ce géant doux et efflanqué. Un récit parfaitement structuré et un style tout en délicatesse et poésie font définitivement de ce texte un indispensable qui va m'accompagner longtemps.

Version folle

Ayé, je suis encore tombée amoureuse d'un homme des bois, doublé cette fois d'un tueur en série , ça ne s'arrange pas ma pov' fille !

*

Julius Winsome, Gerard Donovan, points seuil 2010, 274 pages dont j'ai retardé le plus possible la fin. Qu'allais-je lire ensuite ? Aucun livre ne trouverait grâce à mes yeux après cet immense coup de coeur, j'ai donc relu aussi sec et corné de plus belle  Julius Winsome !

Vivement que d'autres textes de cet auteur soient traduits!

L'avis de Laure

de Brize

de Sassenach

de Dominique

de Véronique

de l'Or des chambres

 

 

 

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”Pas noté, pas acheté.”proverbe cathulien

A grands coups de rasades de tisanes déstressantes (merci Cath) et de carrés de chocolat (merci Fashion), je chemine cahin-caha sur le chemin de l'ataraxie, chemin étroit et qui plus est, tout hérissé de Kévin (c'était l'année des K il y a 16 ans), de Steve et autres Jason (non, je  n'enseigne pas dans une  classe  européenne, la  prof d'anglais vous le confirmera, mais dans un établissement dont les  élèves sont sous perfusions de  feuilletons américains dès le ventre de leur mère).41uqParJnrL._SL500_AA240_.jpg

Parfois, comme un fumeur qui engrange les méthodes pour en finir avec le tabac, ou  une gourmande qui collectionnerait les régimes, je me jette avec férocité sur un livre de développement personnel, surtout quand, comme celui-ci, il utilise un mot que j'adore   :  "listes".
De Dominique Loreau, j'avais déjà lu il y a quelques années, L'art de la simplicité, qui m'avait donné  des envies d'armoires et  d'étagères vides au moins pendant cinq minutes. Quand  on est comme moi une spécialiste de l'entropie, on ne se refait pas  mais on peut au moins rêver. J'ai donc  récidivé avec L'art des listes, de la même auteure qui vient  de sortir au format poche.
Les listes, j'adore ça , comme l'avait déjà  démontré ceci. Elles me donnent l'impression de mettre au net les situations, et quoi de plus jouissif que de barrer les éléments d'une liste de tâches ingrates au fur et à mesure qu'on s'en est débarrassé ! Mais là, je dois dire  que Dominque Loreau est la reine des listes, elle dresse des listes pour tout , absolument tout,y compris pour se connaître*, des listes de  listes, mais  nous réconforte  au passage:  "Une première liste n'est jamais parfaite."Ouf ! je confirme d'ailleurs: ma liste de choses à emporter  en vacances évolue en fonction de l'âge des participants et s'allège singulièrement...
Alors, oui j'ai passé un moment agréable , ponctué de citations élégantes, mais pas appris beaucoup de nouveautés: que l'écriture permet de se  "laver la  tête" des  émotions négatives, depuis le temps,  on s'en doutait un peu, et je ne suis toujours pas prête à fourrer dans mon sac plein de petites pochettes car le sac extensible à l'infini tout en restant léger et discret, je ne l'ai toujours pas rencontré !
Ce n'est donc pas demain la veille que je pourrai  "Simplifier, organiser et enrichir [ma] vie"!qui restera donc un joyeux bazar ! Sur  ce , je m'en vais relire  Notes de  chevet de Sei Shônagon...

* On a intérêt à les planquer, celles-là ! qui sait ce que des mains mal  intentionnées pourraient en tirer...

 

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Dictionnaire des mots manquants

"Il manque le mot pour dire qu'on manque de mots."

(Isabelle Minière)

D'autres dictionnaires, à vocation souvent humoristiques, cf Le Baleinié , s'était déjà penché sur le problème: l'insuffisance de notre langue pour désigner certaines situations. Ici ce sont des écrivains et écrivaines qui évoquent les problèmes qu'ils ont rencontré au cours de leur travail. Certaines nuances de sentiments (en particulier, l'amour), des problèmes de sensations ou d'identité sont ainsi analysés. D'aucuns ont choisi le prisme de la fiction, d'autres celui de la réflexion pied à pied et, au début de chaque entrée de ce dictionnaire, permettant de situer le mot manquant il y a une triangulation , façon géolocalisation.belinda cannone,christian doumet
Au gré de ses humeurs ou de ses affinités, chacun pourra ainsi butiner d’entrée en entrée et faire son miel de ce Dictionnaire des mots manquants , découvrant au passage de nouveaux auteurs et autrices.
J'ai particulièrement été touchée par le texte d’Isabelle Minière autour du manque de mots en cas de mauvaises nouvelles: "C'est sa place pas la nôtre. C'est lui, c'est elle, qui vit cet événement-là, cette perte, ce chagrin, cette tristesse, et parfois ce désespoir.
Il manque un mot qui dise qu'on manque de mots.
Un mot qui dise: "Je suis là, je suis avec toi, tu peux compter sur moi mais je ne sais pas bien le dire parce que je suis bouleversé(e). Ce serait un mot naïf, simple et profond.[...]
On aurait envie de s'essuyer les yeux en entendant ce mot-là."
Le texte de Brina Svit sonne lui aussi très juste, qui traite d'une certaine inversion des relations,quand c'est la mère qui a besoin de se faire "houspiller" par sa fille: "Il n'y que sa fille qui puisse la sermonner de la sorte, avec ce mélange de ton  réprobateur et bienveillant à la fois: c'est le prolongement de leur histoire, un changement provisoire et bénéfique des rôles."
Quant à Pia Petersen, née au Danemark, vivant et écrivant en français, elle traque le mot permettant de définir sa situation spécifique d'écrivaine non francophone et célèbre simultanément la quête même car  "Quand il n'y aura plus rien à chercher parce qu'on saura tout précisément , que se passera-t-il ? "

Dictionnaire des mots manquants, dirigé par Belinda Cannone et Christian Doumet, éditions Thierry Marchaisse, 211 pages inspirantes.

Je mangeais tranquillement ici quand il m'a tendu les bras !

AUTEURS: Élisabeth BARILLÉ , Pierre BERGOUNIOUX, Stéphane BOUQUET, Belinda CANNONE, Pierre CLEITMAN, Pascal COMMÈRE, François DEBLUË, Michel DEGUY, Jean-Michel DELACOMPTÉE, Gérard DESSONS, Jean-Philippe DOMECQ, Max DORRA, Christian DOUMET, Anne DUFOURMANTELLE, Renaud EGO, Denis GROZDANOVITCH, Jacques JOUET, Pierre JOURDE, Cécile LADJALI, Pierre LAFARGUE, Frank LANOT, Alain LEYGONIE, Diane de MARGERIE, Jean-Pierre MARTIN, Isabelle MINIÈRE, Dominique NOGUEZ, Gilles ORTLIEB, Véronique OVALDÉ, Alexis PELLETIER, Pia PETERSEN, Didier POURQUERY, Philippe RAYMOND-THIMONGA, Henri RAYNAL, Philippe RENONÇAY, Jean ROUAUD, James SACRÉ, Marlène SOREDA, Morgan SPORTES, Brina SVIT, François TAILLANDIER, Claire TENCIN, Gérard TITUS-CARMEL, Patrick TUDORET, Julie WOLKENSTEIN.

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Index

A la demande générale d'une visiteuse qui se reconnaîtra,  àdéfaut de mettre de l'ordre dans mes piles de livres, j'en mets(un peu)dans mon blog. Il était temps !
Je commence par les livres de 2008et je complèterai au fil  du temps  avec les lecturesantérieures, ce qui me permettra de ne surtout pas compter combien delivres j'ai lus !

Abasiyanik Sait Faik : Une histoire pour deux

anthologie:Mes 66 plus belles poésies

Beauchemin jean-françois:Le jour  des corneilles

Behar Tonie :Coup bas et talons hauts

Beninca Lise :Balayer fermer partir.

Benni stefano :Margherita Dolcevita

Bienvenu Sophie : Lucie le chien

Bonotaux Gilles :Les la délégation norvégienne

Boyer frédéric :  Far-Ouest

Bruen ken:Delirium Tremens

Hackman Blues

Cachin nathalie : Les trophées de Constance

Cayre Hannelore: Toiles de maître

Célarié Clémentine : Mes ailes

Cherer Sophie : ma Dolto

Chosson Martine :  Parlez-vous la langue de bois ?

Clewlow carol :pas de mari, pas d'ennuis

Colwin Laurie : Accidents

Corenblit Rachel : shalom, salam, maintenant

Cusset Catherine:La haine de la famille

Delachair Lou:  Boris Vian et moi

De peretti  : nous sommes cruels

de Vigan delphine : No et moi

Desouches Thierry :Quand les poules auront des dents

Desplechin marie :Pome

Verte

Dessaint Pascal :Cruelles  natures

Diwan Audrey :La fabrication  d'un mensonge

Drabble Margaret :La mer toujours recommencée

El  Ayachi Samira :La vie rêvée de Mademoiselle S.

Extebarria Lucia : Cosmofobia,

Eyre Ward Amanda :A perte de vue

Fougeray karine :  Kerr Violette

Friot Bernard : agenda du (presque) poète

Friot Bernard: Pour  vivre

Gallay Claudie : dans l'or du temps

Gavalda anna : la consolante

Glass Julia :jours de juin

Goby Valentine:le cahier de  Leïla, de l'Algérie à Billancourt.

           Goby :Rêve de Jacek

Indridason Arnaldur :  la voix

Janicot Stéphanie :  le privilège des rêveurs

Jeanney Christine  :Charlémoi

Johnson pete :Croyez-moi, je suis un rebelle

July Miranda :  Un bref instant de romantisme

Kavian Eva: la dernière licorne

Kérilis hélène : la magisorcière et le tamafumoir

Kurayanagami Tetsuko: Totto-Chan

Kuipers alice : Ne t'inquiète pas pour moi

Lackberg  Camilla :La princesse des Glaces

 Lafon Marie-Hélène: maison Santoire

Lesbre Michèle : le canapé rouge

Lewycka marina :Une brève histoire du tracteur en Ukraine

loe Erlend  :Autant en emporte la femme

Malineau,jean-Luc :Proverbes et dictons farfelus

Marietta Agnès :  N'attendez pas  trop longtemps

Mazetti Katarina : entre le chaperon rouge et le loup c'est fini

Montero Rosa :  la fille du cannibale

Moore Christopher: Le lézard lubrique de Melancholy Cove

Nessmann Philippe :Toutes les réponse aux questions que vous ne vous êtes jamais  posées

mainard Doninique : Ma vie en dix-sept pieds

Manto Saadat Hasan  :  Viande froide

Minervudottir Gudrùn Eva :Pendant qu'il te regarde tu es la Vierge Marie



Mopurgo,Michaël :L'histoire de la licorne.

Morton brian : une fenêtre  sur l'Husdson

Morton Kate : Les brumes de Riverton

Neruda Pablo : le livre des questions

O'riordan Kate  :Le garçon dans la lune

O'Farrell Maggie : L'étrange disparition d'Esme Lennox,

Pancol Katherine : la valse lente des tortues

Pélegrin Dominique Louise : Ciel! Ma prairie

Pelot Pierre : La croque buissonnière

Perkins Gilman charlotte : la séquestrée   

PetitJean -Cerf Cypora :le musée  de la sirène

Petitjean-Cerf :le corps de Liane

Pulsatilla :La cellulite, c'est comme la mafia, ça  n'existe pas.

Phillips Marie : Les dieux ne valent pas mieux

Potter Ellen :  Olivia Kidney

                        Olivia Kidney et l'étrange maison de l'au-delà

Pullman :  les royaumes du Nord

Rey Georges-François : Sauter du coq à l'âne

Reyboz cécile : Chanson pour bestioles

Reysset karine :Comme  une mère.

Romer Knud: Cochon d'Allemand

Roza Bruno:Leçons de choses

Rubin Gabrielle : pourquoi on en veut aux gens qui nous font du bien

Saumont Annie  :  Vous descendrez à l'arrêt Roussillon

Schneider Michel :Marilyn dernières séances

Sebbar Leïla : Louisa

Sheridan Peter :  la guerre des légumes

Ternynck catherine: Chambre à part

Thibert Colin :Tirez sur l'ambulance .

Trollope  Joanna : les vendredi d'Eleanor

Vanyda : l'immeuble  d'en face

Varley Jane Elisabeth :les femmes et les amants

Vaude Mary-GérardFous de  vaches

Wharton Edith:  Xingu

Watara Risa :  appel  du pied

Watara Risa: Install

Zalberg Carole : La mère horizontale

Zariâb Spôjmaï :  Dessine-moi un coq

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