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Rechercher : kate atkinson

Dans les rapides

"-mais Kate Bush d'un coup de pied, vient d'enfoncer un coin dans notre trio. "

Le Havre, les années 80. Un trio de filles qui par la magie de Blondie puis celle de Kate Bush, vont découvrir un univers où les femmes sont puissantes.51oW8q99nlL._SL500_AA300_.jpg
Une très jolie évocation, pleine de sensations poétiques et intenses, de l'adolescence. Un peu trop de retenue à mon goût mais un style chatoyant et prometteur.

Dans les rapides, Maylis de Kerangal, Naïve 2006, 113 pages  à lire en réécoutant ...The kick inside bien sûr !

Clarabel avait adoré ! un livre "Touchant" pour Malice.

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Un autre amour

"Certains soirs elle allait se coucher sans savoir qui elle serait en se levant le lendemain."

Un séjour à Rome en amoureux pour Connie et Matt Wilson. Pendant ce temps, leurs trois garçons sont gardés par la meilleure amie du couple, Mary. De cette escapade, Connie rentrera seule : son époux a décidé de rester en Italie.arton19016-4e85b.jpg
Commence alors une longue évolution de Connie qui n'accepte pas sans souffrance de voir remis en question sa vie de famille et un amour qui dure depuis ses quinze ans.
Sur un sujet des plus rebattus, Kate o'Riordan réussit un tour de force: contourner tous les clichés et tenir l'attention de son lecteur perpétuellement en éveil , ménageant des révélations jusqu'à la toute dernière minute.
Je dois avouer que même si j'aime beaucoup cette auteure, j'y allais en faisant un peu la grimace car le thème n'a rien de confortable (qui peut affirmer que son couple durera jusqu'à ce que la mort sépare les amoureux ? ) mais tant le style , très imagé, de Kate o' Riordan que sa peinture toute en finesse tant des rapports amoureux, familiaux (pas d'hypocrisie dans la manière de Connie de parler de ses trois garçons si différents) voire même amicaux (ah le portrait de Mary qui prie à toutes force Saint Antoine, le morigène avant de se tourner vers Saint Jude, peut être plus efficace !) ont su emporter ma totale adhésion et je freinais des quatre fers pour retarder au maximum de découvrir la fin...On sourit, on frémit, on s'identifie à l'une puis à l'autre et on retrouve ici tout le talent de cette auteure qui n'hésite pas à appuyer là où ça fait mal.

Un autre amour , Kate O'Riordan, traduit de l'anglais par Florence-lévy-Paolini, Editions Joëlle Losfeld 2010, 279 pages qui ne vous laisseront pas intact.

De Kate o'Riordan , j'avais aussi beaucoup aimé Le garçon dans la lune et Pierres de mémoire

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Une femme raisonnable

Elevée dans une ferme australienne, ce qui d'après l'auteure," fabrique non seulement des pragmatistes notoires, mais aussi des pessimistes notoires", l'écrivaine Kate Jennings est Une femme raisonnable qui tient ses émotions à distance et refuse toute sensiblerie.
Pourtant, la mort de son époux, ainsi que la situation des Etats-unis et plus précisément de New-York, où elle réside, vont remettre ce bel édifice de cynisme revendiqué haut et fort en question.51Ce3CRstML._SL500_AA240_.jpg
L'irruption dans sa vie de deux Borders terriers aux caractères bien trempés vont la transformer en rien moins qu'une mérote à chien, elle qui se gaussait de l'attention excessive que les New-Yorkais peuvent accorder à leurs animaux. Un séhour à Bali ,où deux singes croiseront sa route, puis un retour au bercail , permettront à "Miss Kate"de trouver un nouvel équilibre. Un récit qui fait davantage la part belle aux animaux et qui laisse un peu en pointillés la reconstruction de l'écrivaine.
J'avoue avoir été totalement emballée par la métamorphose de Kate Jennings dans son attitude avec les chiens et nettement moins par la partie balinaise du récit.
Un récit qui réjouira les fans des chiens en général et des borders terriers en particulier. Attention, ce livre donne aussi , même s'il dépeint parfaitement le caractère dominant de ces chiens, une folle envie de tenter l'aventure...ainsi que de se plonger dans l'oeuvre de cette écrivaine.

Une femme raisonnable, Kate Jennings, traduit de l'anglais par Anne Rabinovitch, Editions des deux terres, 2010.

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rattrapage 2

Vos désirs sont des ordres, Dame Cuné ! Alors voici une deuxième fournée de sorties en poche !

  51bbxaWfxLLPour la fête des mères ? ! :Kate Long,  Manuel de la mauvaise mère

  Pour faire un tour gourmand en Inde :Kalpana Swaminathan  Saveurs assassines51UD8WUDnDL

  Pour se détendre les neurones :Gail Parent Sheila  Levine est morte et vit à  New-York51KMqWklg2L


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J'ai craqué !

9782877065993Merci d'abord pour vos témoignages de sympathie, ça fait chaud aucoeur surtout qu'ici, l'été est bien fini (Non, non, nous n'avons pasrallumé le chauffage ! De toutes façons, vu les travaux , c'estimpossible...).
Je peux bien recevoir vos messages mais pas en envoyer...ça progresse...
Cen'est donc pas mon modem qui m'a fait craquer (il est bien moche maison s'en fiche) mais 1/le temps pourri et 2/la fermeture de lamédiathèque depuis trois longues semaines (je sais tout le monde a ledroit de prendre des vacances, Laure (j'en profite pour te souhaiterune bonne fête en retard, désolée !) mais mes réserves ont vite fonduau soleil de la canicule (c'était quand déjà ?)).
Entre deux"draches" (averses soudaines et de grande intensité), on se croiraitpresque en Afrique,  Silo, si ce n'est les températures qui nesont pas à la hauteur, j'ai donc fait une orgie de magazines sous leprétexte de voir ce qu'allait donner la rentrée littéraire.
Bof,rien de bien passionnant, mon banquier peut se rassurer.J'attendraipeut être la sortie en poche du nouvel Agnès Desarthe même si cesprécédents romans ne m'avaient pas totalement convaincue.Je vais gArdermes petits sous pour le nouveau Atkinson , dont personne ne parle dansles critiques que j'ai lues et dont rien que le titre me réjouit: Les choses s'arrangent mais ça ne va pas mieux. C'est bizarre, ça me rappelle quelque chose...

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Maria avec et sans rien

"Dans le monde entier, il n'y avait pas autant de calmants qu'il y avait de périls imminents."

Maria a tout perdu : son réalisateur de mari, Carter, parti tourner sans elle dans le désert; sa fille de quatre ans, Kate, internée. Maria, actrice de seconde zone, veut se battre pour récupérer Kate mais dérive dans un monde factice, vide, où les amours et les amitiés sont instables et fugitives, celui de la bourgeoisie intellectuelle de la côte ouest. Alors elle roule sur les autoroutes, tentant vainement d'instaurer une sorte de cadre, ne serait-ce qu'horaire , à sa dérive.41gERw4XZ6L._SL500_AA300_.jpg
Il faut accepter de perdre parfois ses repères pour accompagner Maria dans ces 80 scènes brèves  qui nous la peignent de manière à la fois sensible et détachée. Un livre fascinant.

Maria avec et sans rien, Joan Didion,traduit de l'américain par Jean Rosenthal, pavillons poche Robert Laffont, 233 pages .

L'avis de Joëlle.

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Snob, Cathulu ?

Même si Les brumes de Riverton semblent avoir beaucoup de succès (j'ai dû le réserver à la médiathèque),j'ai abandonné ce roman à la page 70.51ioRUNB1kL
Kate Morton le revendique clairement elle même dans la post-face, elle a beaucoup lu et vu sur ce contexte socio-historique "le XIX ème siècle vient de s'effacer devant le XXème, le monde moderne commence  à prendre forme". Elle n'est pas la seule .
Du coup, je n'ai trouvé aucune originalité, aucun "peps" à ce roman qui reprend les codes du "romanesque noir". Serait-ce parce que l'auteure n'est pas anglaise mais australienne ?
A qui veut se plonger dans cette période, je conseillerai plutôtles originaux dont s'est inspirée Kate Morton et en particulier tout ce qui concerne excentrique chic.

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#Lerougenestplusunecouleur #NetGalleyFrance

"Il y avait tant de choses que Max ignorait: ce que c'était que d'avoir des poids invisibles aux chevilles, un brouillard dans la tête, un fardeau sur la poitrine."

Premier roman, Le rouge n'est plus une couleur relate une amitié entre une jeune fille de milieu modeste, Kate, et un jeune privilégié, Max ,dans la Grande -Bretagne contemporaine. Il raconte également le viol dévastateur dont Kate sera victime par un membre de la famille de Max.rosie price
Si les personnages sont bien campés, les différences sociales et psychologiques bien brossées,  l'intrigue bien menée, l'autrice n'a pas su, à mon avis, équilibrer son récit en laissant une part congrue à ce qui se voulait le thème principal de ce roman: le viol et ses conséquences psychologiques, tant sur la victime que dans son entourage.

Traduit de l’anglais par Jakuta Alikavazovic

 

Grasset 2020

 

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15/04/2020 | Lien permanent

Vinegar girl...en poche

"Lundi ,13h13

Salut Kate nous sommes cherché la licence pour le mariage ! (sic)
Qui ça nous ?
Ton père et moi.
Alors tous mes vœux de bonheur."

Réécriture contemporaine de la pièce de Shakespeare La mégère apprivoisée, Vinegar girl  en épure l'intrigue et la modernise.anne tyler
Plus question ici d'une aînée atrabilaire qu'il faut marier à tout prix pour que sa cadette puisse convoler en justes noces. Anne Tyler imagine un savant veuf, et quelque peu cinglé,doté de deux filles que tout semble opposer (Kate, pour qui tact , retenue et diplomatie sont des mots quasi inconnus et sa cadette Bunny tout en frivolité apparente), qui pour conserver son indispensable assistant étranger veut lui faire épouser sa fille aînée.
Pas question pour autant de la priver de nourriture ou de sommeil , comme dans la pièce de Shakespeare, pour la contraindre !
Anne Tyler, à son habitude , analyse en finesse les liens familiaux et révèle progressivement les facettes de ses personnages,bien moins caricaturaux qu'au premier abord. Elle ménage une porte de sortie plus qu’honorable à son héroïne, même si, personnellement, j'aurais préféré une solution plus radicale...
Un bon moment de lecture , divertissant et souvent drôle.

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18/04/2019 | Lien permanent

Le bruit du dégel

"Quand on doit se remettre de quelque chose, avoir le temps, être lent, est la meilleure thérapie. Parce que se défoncer, à l'alcool ou aux drogues, ce n'est guère que s'efforcer d'arrêter le temps."

Étudiante en cinéma, Kate peine à se remettre du décès de son père et se réfugie dans l'alcool.  Chargée de récolter des récits, la jeune femme rencontre par hasard Jean, une vieille dame pleine d'énergie, qui va lui proposer un troc : elle lui confiera ses histoires à condition que Kate arrête de boire.
Autour de tasses de thés odorants, de pâtisseries maison, commence alors une relation enrichissante pour les deux femmes, tout en délicatesse.john burnside
Au-delà de l'aspect intime des histoires révélées, c'est aussi tout un pan,souvent peu glorieux, de l'Histoire américaine qui se donne à lire.
Tout en suggestions, sans se départir de sa prose poétique, John Burnside nous livre ici un roman qui entremêle les histoires, les générations,  avec bienveillance et sensibilité.

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