Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« Les billes du pachinko...en poche | Page d'accueil | La femme intérieure »

25/08/2020

#Unefaroucheliberté #NetGalleyFrance

"Ravie que des ferments de révolte se multiplient de par le monde. heureuse que le mot "féminisme" soit en pleine renaissance. Confiante dans la capacité des femmes à innover et puiser de la force dans leur parcours d’opprimées. La révolte intacte."

Alors que vient de disparaître Gisèle Halimi , paraissent ces entretiens avec Annick Cojean. Celle qui dès son enfance en Tunisie lutta pour la cause des femmes et se révolta contre l'injustice retrace ici avec la journaliste du Monde les grandes étapes de son parcours d'avocate, de militante féministe, de femme politique également (même si ce ne fut guère une réussite). annick cojean,gisèle halimi
Elle éclaire également ses motivations plus intimes : être aimée par sa mère, ne plus se sentir étrangère en France.
Elle transmet enfin quelques conseils aux "jeunes femmes qui préparent le monde demain": d'abord l'indépendance économique, ensuite l’égoïsme car "Les femmes ont trop souvent le sentiment que leur bien-être doit passer après celui des autres". Elle ajoute également"refusez l'injonction millénaire de faire à tout prix des enfants"car "la maternité ne doit pas être l'unique horizon.""Enfin, n'ayez pas peur de vous dire féministes. C'est un mot magnifique, vous savez. C'est un combat valeureux qui n'a jamais versé de sang."
Une belle énergie pour une femme âgée alors de quatre-vingt-treize ans .

Grasset 2020

Commentaires

Je vais le lire bien sûr. J'avais beaucoup apprécié "le lait de l'oranger" en son temps.

Écrit par : Aifelle | 25/08/2020

Merci de me le remettre en tête, c'était un achat prévu mais non noté, et entre chaleur et fatigue je ne me souvenais plus que du volume 6 de "Sauveur et fils" (que je vais offrir au mien, de fils pour l'encourager avant la rentrée) à demander à mon libraire ! Oui, le "Lait de l'oranger", Aifelle, et aussi "La cause des femmes" ou "Fritna". Sa disparition en plein été n'a pas tellement fait de bruit et je trouve cela dommage. J'espère que cet ouvrage aura beaucoup d'échos et lui rendra la place qu'elle mérite.

Écrit par : Melanie B | 25/08/2020

à toutes: on pourrait espérer une place au Panthéon...

Écrit par : cathulu | 25/08/2020

Reçu... Reste à le lire et m'y plonger.

Écrit par : Moka | 06/09/2020

Les commentaires sont fermés.