11/03/2013
Mourir est un art comme tout le reste
"Méfiez-vous des survivantes, des petites filles, des grosses pâlottes, de celles qui parlent toutes seules, des lectrices de romans, ce sont celles qui vous feront clamser car le meurtre, bien qu'il n'ait pas de langue, trouve pour parler une voix miraculeuse."
Oriane Jeancourt Galignani , pour ce premier roman, revient sur les derniers jours de la poétesse Sylvia Plath. Elle choisit d'éclairer en outre la relation particulière qui unissait l'auteure d'Ariel à son père.
La langue est riche, imagée et inspirée mais ma lecture a pâtit du fait que c'était le troisième texte que je lisais sur le même thème...à réserver aux fans absolues de Sylvia Plath ou à ceux et celels qui n'auraient pas encore lu :
Les femmes du braconnier de Claude-Pujade Renaud
Froidure (nons chroniqué) de Kate Moses
deux romans que je recommande chaudement .
06:00 Publié dans romans français | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : oriane jeancourt galignani