« Géographie de la peur | Page d'accueil | #Quandlesfemmesétaientdesoiseaux #NetGalleyFrance ! »
16/05/2024
Je pleure encore la beauté du monde
Quand on parle de préservation, de sauver cette planète, il faut commencer par les prédateurs. Parce que tant qu’on ne les aura pas sauvés eux, on n’aura aucune chance de sauver le reste. »
Moi, je vois leur puissance subtile, leur patience immense et leur beauté incomparable.
Ayant beaucoup aimé le premier roman, Migrations, de cette autrice, je me faisais une joie d'ouvrir celui-ci. Il avait en effet tout pour me plaire: une histoire de réintroduction de loups dans une forêt des Highlands (une pure fiction , apparemment) et j'étais déjà ravie.
Hélas, le défaut que j'avais déjà évoqué comme bémol pour son précédent ouvrage se donne ici libre-cours: le pathos.
On accumule les personnages torturés, les situations prévisibles (voire invraisemblables) et à trop vouloir accumuler les thèmes (violence faites aux femmes, loups accusés de tous les maux, y compris de meurtre sur humains) l'autrice m'a totalement déçue. Dommage.Il n'en reste pas moins qu'on sent ci un véritable amour de la nature et des loups.
Éditions Gaïa 2024. Traduit de l'anglais (Australie) par Marie Chabin.
06:00 Publié dans romans étrangers | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : charlotte mcconaghy
Commentaires
La couverture m'attirait beaucoup, mais ton avis me fait plutôt fuir.
Écrit par : Aifelle | 16/05/2024
Zut .... dommage, ton avis me fais réfléchir quant à lire ce roman.
Écrit par : Katell | 16/05/2024
à toutes: d'autres ont été plus enthousiastes...
Écrit par : cathulu | 21/05/2024
Les commentaires sont fermés.