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25/03/2013

L'école des films

""De la mauvaiseté instructive" , a dit Jesse. Son vocabulaire s'améliorait."

Parce que son fils adolescent est en train de décrocher de l'école, David Gilmour, critique cinématographique canadien au chômage, lui propose un drôle de marché : abandonner provisoirement l'école mais en contrepartie regarder avec lui au moins trois films par semaine.
Alors là le lecteur se dit qu'il va se fader une expérience néo-pédago-filmique dans le meilleur des cas bizarre, dans le pire chiante. Ni l'un ni l'autre. Car le papa est un fondu de cinéma, qui , à défaut d'argent dispose de temps pour transmettre sa passion et surtout établir une relation de confiance avec son fils, ce qui est autrement plus porteur. david gilmour
Dans la foulée, on glanera plein d'infos hétéroclites sur une flopée de films plus ou moins connus, pas forcément des classiques d'ailleurs. En effet, David Gilmour n'hésite pas à se concocter une liste de , je cite, Plaisirs coupables, de quoi éviter le côté ciné club empesé... L'écriture est fort agréable avec , en outre,  ce petit côté charmant que donne le vocabulaire québécois.

L'école des films, David Gilmour, traduit de l'anglais (Canada) par Sophie Cardinal -Corriveau, BQ 2011

 

Merci Sylvie !