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05/01/2015

C'est dimanche et je n'y suis pour rien

"Le mort est le compagnon idéal, jamais jaloux, hargneux, mal luné, le mort ne vous décevra jamais. Il vous laissera lui tailler son costume de héros."

Léonore, la quarantaine venue, entreprend un voyage au Portugal , pays de son amour de jeunesse, tragiquement disparu.carole fives
Elle n'a rien construit, a abandonné ses rêves de peinture et semble caparaçonnée dans la culpabilité d'un passé douloureux.
Ce voyage, suivi au jour le jour, lui permettra-t-il de prendre son envol et de faire la paix avec elle -même ?
Dans un style à la fois enjoué et sensible, Carole Fives entrelace passé et présent, faisant revivre avec acuité les sentiments exacerbés de la jeunesse. Nous suivons pas à pas son héroïne, comprenons ses réticences, ses peurs et découvrons aussi tout un pan trop mal connu de notre histoire: celle des Portugais venus s'installer en France.
Un roman qui fait battre le cœur mais ne sombre jamais dans le pathos. Une réussite qui confirme tout le bien que j'avais déjà écrit sur les différentes œuvres de Carole Fives !

C'est dimanche et je n'y suis pour rien, Carole Fives, l'arbalète , Gallimard 2015.

clic, clic clic et reclic.

Commentaires

Je sens que cette rentrée de janvier va être terrible ... bien pire que celle de septembre.

Écrit par : Aifelle | 05/01/2015

J'aime beaucoup la simplicité de Carole, il me le faut celui-ci !

Écrit par : Hélène | 05/01/2015

Aimé !!! ( relecture car avec 1ère de nuit de nuit et pas réveillée , j'avais tout raté)

Écrit par : clara | 05/01/2015

Quand je pense que je n'ai encore jamais lu Carol Fives alors qu'il y a tant à cliquer, enfin je veux dire à lire ! :-) Il va falloir que je répare cette omission.

Écrit par : Melanie B | 05/01/2015

Je garde un excellent souvenir de son recueil de nouvelles, alors je me laisserai sûrement tenter.

Écrit par : Gwenaëlle | 05/01/2015

Tu me fais penser que je voulais relire Carole Fives! Il y a tant de titres intéressants.

Écrit par : Laeti | 05/01/2015

Je crois sincèrement je vais me tourner, soit vers la BD, soit vers la jeunesse, soit vers les romans étrangers parce que là, je n'en peux plus : cela fait un bail que je n'ai pas eu le moindre frisson en littérature française. Soit les écrivains ont envie qu'on finisse tous au prozac, soit il va falloir qu'ils créent, qu'ils écrivent bien, qu'ils construisent des histoires qui se tiennent, qu'ils arrêtent de se regarder le nombril, flûte alors ! (pour ne pas dire autre chose comme b..d.l ! , le juron auquel je pensais). Qu'on ne se plaigne pas de la chute des ventes éditoriales et des records à la Lévy (je précise, Marc), à la Musso ! C'était mon premier coup de gueule 2015 (et c'était chez toi : ne me remercie pas !!!!). Je t'embrasse (tu as le droit de me censurer, je ne t'en voudrais pas)

Écrit par : Philisine Cave | 05/01/2015

Aifelle, c'est chouette de constater la vigueur de l'édition :)
Hélène, Gwenaëlle, et la couv' ne gâche rien :)
Clara, cool :)
Mélanie, Laeti, une bonne résolution :)
Philisine, cool :) Personne ne te force :)

Écrit par : cathulu | 05/01/2015

J'adore le titre !

Écrit par : Alex-Mot-à-Mots | 06/01/2015

Moi aussi, moi aussi, j'adore le titre !

Écrit par : Perrine | 07/01/2015

Alex, Perrine, c'est un poème créé par un personnage du roman !

Écrit par : cathulu | 08/01/2015

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