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01/04/2016

La carapace de la tortue...en poche

Disgracieuse, maladroite, Clotilde a vite compris qu'elle désespérait sa famille et l'a quittée très jeune. Quand elle revient habiter chez sa tante, surnommée la Vilaine, c'est pour reconquérir son estime de soi, fort mise à mal par son obésité et les agressions qu'elle suscite.

marie-laure hubert nasser


C'est grâce à l'art et à l'aide de certains des habitants de cet immeuble bordelais que Clotilde va commencer à s'épanouir.
J'ai passé un bon moment avec ce microcosme bordelais mais certains tics de style (phrases nominales courtes, voire très courtes), un peu trop de joliesse dans l'écriture, utilisation des italiques durant tout le journal intime de Clotilde (G. Delacourt est sûrement à l'origine de cette allergie !), manque d'une charpente narrative un peu plus solide ont fait que je n'ai pas été aussi enthousiaste que Laure.
Comme elle, j'ai pourtant apprécié que l'auteure ne cède pas à la facilité dans l'épilogue. Un premier roman prometteur et un joli moment de lecture .

Commentaires

Oates et Kassischke ont contribué à mon allergie aux italiques (quand il y en a trop)

Écrit par : keisha | 01/04/2016

Keisha, ah bon, je n'avais jamais remarqué.

Écrit par : cathulu | 02/04/2016

L'histoire me plaît bien (et le titre aussi, j'avoue ^_^)!

Écrit par : FondantGrignote | 26/04/2016

Les commentaires sont fermés.