Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« 2008-02 | Page d'accueil | 2008-04 »

04/03/2008

Roméo et Marilyn

Roméo, tel est le vrai prénom  du docteur Greenson, le dernier psychanalyste de Marilyn ,Monroe, bien sûr.  Michel Schneider explore dans Marilyn dernières séances, les liens pour le moins bizarres qui s'étaient établis entre la psychanlyster et sa  célèbre patiente. ce faisant, il envisage églement les liens qui se sont tisssés  dans les  années 60 aux Etats-Unis entre cinéma  et la science mise au point par Freud,( Freud dont la fille ,Anna aura comme patiente épisodiquement la star hollywoodienne): "Chacun avait partagé la folie de l'autre"...41gkNBofWEL
Mêlant dialogues réels et inventés, chahutant la chronologie , c'est un portrait sensible et d'une intelligence  aiguë qui se donne à lire ici.
Même si comme moi on n'est pas spécialement fan de l'actrice, on ne peut qu'être touché par l'intelligence et la fragilité de la  femme : "Je vous dirais ce que je peux. Comment répondre à ce qui vous engloutit.",  "vous savez, dit-elle à Greenson venu le soir chez elle, j'ai trouvé ma  définition de la mort. Un corps dont il  faut de  débarrasser." ou bien encore:  "Quand on se dit qu'on est soi même une erreur, on n'a pas  envie de  s'entendre dire qu'on fait des fautes."
Avoir une patiente aussi célèbre ne pouvait que flatter le narcissisme de Greenson, qui lui  intima : "Laissez-moi faire et décider ce  dont vous avez besoin.", essaya de lui donner une place au sein d'une  ambiance familiale mais échoua dans son traitement et ne s'en remit pas. Les dernières pages du roman , consacrées à la manière dont Grennson vécut cet échec après la mort de Marilyn m'ont paru un peu longuettes mais je n'ai pour autant pas  boudé mon plaisir tant est passionnante cette vision fouillée et  attachante.

L'avis de  Clarabel .

03/03/2008

"La nouvelle Virginia Woolf ou la nouvelle Florence Nigntingale ? "

"L'existence de Nora tournait en effet autour de deux pôles:  le besoin d'écrire et le besoin d'aider les  autres.  mais  elle était incapable  de concilier les  deux". et en effet car dans les  fictions qu'elle r édige, Nora  perce  à jour les membres de  son entourage. Cruauté involontaire,  certes, mais pas facile  à supporter...Son histoire d'amour avec Isaac y survivra-t-elle ? 41POAcbLKnL
Traitant de la création, de ses difficultés,  des renoncements nécessaires ou imposés ("les  poétesses ne devraient pas se marier, mon ami"), Une fenêtre sur l'Hudson , envisage aussi la relation entre  Nora et sa tante en fin de vie.
J'ai lu sans déplaisir ce roman de Brian Morton mais me suis sentie tenue à distance , ne parvenant pas à  entrer véritablement dans ce texte. J'ai  davantage apprécié  la  description sans pathos  desl iens qui unissent Nora et sa tante, y trouvant davantage de chaleur humaine.

02/03/2008

Trop la honte !

Ludovic Flamant et Emmanuelle Eeckhout (dont les  dessins sont  trop craquants !) se sont mis à deux pour51lopwTpYoL nous présenter une série de  hontes, rigolotes quand ces petits incidents arrivent aux autres mais bizarrement pas rigolotes du tout quand c'est nous qui sommes concernés... De quoi rire et dédramatiser en famille !
Sélectionnée par Ferdi : "C'est trop la honte quand tu parles à quelqu'un et que ton nez fait une bulle sans prévenir."

Et vous quand est-ce que c'est trop la honte ? !

01/03/2008

Un grand merci, en retard (merci les virus internétiens !)

Merci à Katell,  Bellesahi pour ces surprises dans ma BAL !

Je ne résiste pas au plaisir de recopier la citation notée sur l'un des marque-page (et dont j'avais oublié l'auteur):

"Je n'ai jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé." Montesquieu

DSC01693