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28/03/2011

Les vaches rouges ou un dernier amour

Veuve d'un éminent professeur de philosophie , la narratrice fuit son hypocrite belle-fille et se réfugie avec sa chienne Cora dans une maison de retraite. En partant, elle a pris soin de chiper un ordinateur portable sur lequel elle commence à tenir son journal intime.dorothea razumovsky,allemagne,maison de retraite,y a plus de vieillesse !
La rencontre avec un jeune Russe, Vova,  qui rêve de rentrer chez lui au pays des vaches rouges, va lui permettre tout à la fois de sortir de son univers aseptisé (car l'ado est un voyou !) et de se réinventer grand-mère de remplacement.
Un roman un peu empesé dans l'expression mais qui s'inscrit dans la tendance actuelle des vieux qui regimbent à se laisser enfermer dans une quelconque "communauté du déclin" comme le dit joliment la quatrième de couv'. Sympathique mais pas inoubliable.

Les vaches rouges ou un dernier amour, Dorothea Razumovsky, Buchet-Cahstel, 2011, traduit de l'allemand par Chantal Le Brun Keris, 178 pages un peu guindées .dorothea razumovsky,allemagne,maison de retraite,y a plus de vieillesse !